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Tyto dévoile l’édition 2022 de son rapport Tyto Tech 500

En 2017, nous avons lancé le Tyto Tech 500 afin d’identifier les personnalités les plus influentes dans le secteur de la tech au Royaume-Uni et ainsi comprendre ce qui crée véritablement l’influence. Nous avons inclus l’Allemagne dans notre analyse en 2019 puis la France l’année suivante, dans le but d’obtenir un meilleur aperçu des tendances des trois plus grands marchés européens. Aujourd’hui, nous dévoilons la 6ème édition du rapport annuel Tyto Tech 500 qui témoigne, particulièrement cette année, de la pertinence et de l’importance de la technologie face aux problématiques économiques mondiales. Voici un résumé des principales conclusions de cette année. 

Tyto Tech 500 2022 – les résultats clés

1.  La cybersécurité, le sujet technologique le plus brûlant. Il n’est peut-être pas surprenant qu’au vu de l’augmentation de la cybercriminalité, de la cyberguerre et de l’instabilité géopolitique mondiale croissante, le sujet le plus brûlant cette année dans le domaine de la technologie soit la cybersécurité. Les experts dans le domaine de la cybersécurité ont augmenté de 52 % leur présence dans le classement Tech 500. Ces influenceurs ont connu une augmentation de 125 % au Royaume-Uni, suivie de 24 % en France et de 16 % en Allemagne. 

2. Les universitaires gagnent du terrain : Les chefs d’entreprise et les journalistes continuent d’être les profils d’influenceurs les plus répandus au Royaume-Uni, en France et en Allemagne, représentant cette année 58% et 19% respectivement. Aussi, l’influenceur numéro un en 2022 est Richard Branson, magnat britannique des affaires, investisseur et fondateur du groupe Virgin. Toutefois, ce sont les universitaires qui ont gagné le plus de terrain dans notre classement, avec une hausse de 25 % en Europe depuis l’année dernière et de 118 % depuis 2020. Parmi les trois pays, l’Allemagne compte le plus grand nombre d’universitaires (37) même si elle n’en a gagné que 3% cette année. Le Royaume-Uni a connu la plus forte croissance d’influenceurs académiques avec une augmentation de 74%, mais se trouve derrière l’Allemagne avec 33 influenceurs au total. La France est troisième avec une augmentation de 15% du nombre d’universitaires par rapport à l’année dernière. 

Cette augmentation significative au cours des deux dernières années montre le besoin des populations de se tourner vers de nouvelles sources d’information, considérées comme plus objectives. La confiance du public envers les experts semble revenir en force : il existe quelques exemples notables d’individus ayant conquis un large public en offrant une analyse des problématiques actuelles, telles que l’incertitude économique, la crise énergétique ou encore le conflit en cours en Ukraine.  

 3. Les influenceurs politiques ont le vent en poupe : Comme l’année dernière, les influenceurs politiques et gouvernementaux continuent de gagner en importance, avec une augmentation de 11% dans nos classements. Cette augmentation est probablement elle aussi due à la volonté du grand public de se tourner vers des sources d’informations officielles et la recherche d’assurance sur les mesures prises pour résoudre les crises économiques et sociales. La pandémie et les élections en France et en Allemagne ont également eu un impact sur la croissance de ces influenceurs, plus particulièrement dans la première partie de l’année.

 4. Les innovateurs technologiques font avancer le secteur : Les entrepreneurs et les sociétés de capital-risque ont connu le gain d’influence le plus significatif dans le top 500 paneuropéen cette année (les 500 personnalités les plus influentes du Tyto Tech 500), avec des augmentations respectives de 146 % et 88 %. Malgré les difficultés actuelles, il est réconfortant de voir que les innovateurs technologiques apportent une influence positive et des succès story d’entreprise dans les discussions commerciales.

 5. Les femmes s’imposent de plus en plus dans la Tech : Une autre constatation encourageante cette année est la montée en puissance des femmes dans les trois pays. Les femmes représentent désormais un influenceur sur quatre au niveau paneuropéen, ce qui constitue une augmentation significative par rapport à l’année dernière où les femmes ne représentaient qu’un influenceur sur cinq. Il reste encore beaucoup de chemin à faire, mais la tendance avance dans la bonne direction. 

 6. Les influenceurs des secteurs SpaceTech et Technologie Quantique montent en flèche : L’année dernière, nous avons intégré trois nouveaux secteurs émergents à nos classements et deux d’entre eux présentent cette année le pourcentage de croissance le plus élevé du Top 500 paneuropéen par rapport à 2021 : La technologie quantique (+267%) et la SpaceTech (+200%). Nous sommes certains que nous verrons le nombre d’influenceurs dans ces secteurs augmenter l’année prochaine.

7. Les journalistes continuent d’exercer une influence déterminante sur l’industrie technologique : Les journalistes continuent de jouer un rôle fondamental et d’influer l’industrie technologique. Ils représentent 3 influenceurs sur 10 (29%) dans le top 500 paneuropéen et sont en deuxième position après les chefs d’entreprise. Dans le classement global du Tyto Tech 500, le nombre de journalistes influents a augmenté de 15 % en deux ans, passant de 251 en 2020 à 288 cette année. Cette tendance à la hausse reconnaît la véritable valeur que le journalisme objectif apporte à l’industrie.

Voici les personnes les plus influentes dans le domaine de la technologie en Europe  

Au Royaume-Uni, après le numéro un des influenceurs de la tech, Richard Branson, Stephen Fry, acteur, évangéliste de la tech et blogueur, prend la deuxième place, suivi par Simon Calder, journaliste spécialiste du voyage à la rédaction de The Independant, en troisième position. En Allemagne, la première place revient cette année à Carsten Maschmeyer, fondateur du groupe Maschmeyer, tandis que Robert Habeck, ministre de l’Économie et de l’action climatique, est numéro deux, et Jens Spahn, homme politique et ancien ministre fédéral de la santé, prend la troisième place du classement allemande du Tyto Tech 500. En France, notre premier influenceur est François Sorel, journaliste tech pour BFM ; la deuxième place revient à Thomas Pesquet, astronaute de l’Agence spatiale européenne ; et Thierry Breton, commissaire européen chargé du marché intérieur à la Commission européenne, occupe la troisième place. Félicitations aux personnalités technologiques les plus influentes d’Europe figurant dans notre classement Tech 500 ! 

 

Pour en savoir plus sur ces tendances et découvrir tous les influenceurs technologiques en Europe, téléchargez le rapport complet ici. Vous trouverez également le Top 100 des influenceurs technologiques au Royaume-Uni, en Allemagne et en France, ainsi que le classement des 100 personnes les plus influentes dans ces trois pays.

Tech_500_2021

Tyto dévoile la nouvelle édition de son rapport Tech 500 sur les influenceurs

En 2017, nous avions lancé la Tyto Tech 500 Power List dans le but d’identifier les personnalités les plus influentes du secteur technologique britannique et de comprendre ce qui crée réellement de l’influence. Puis en 2019, nous y avions inclus l’Allemagne, et l’année suivante la France, afin d’avoir un aperçu plus large des trois plus grandes économies d’Europe.

Aujourd’hui, alors que nous publions la 5e édition de notre rapport annuel Tech 500, notre évaluation objective de l’influence du secteur technologique européen est plus approfondie que jamais. Nous avons étoffé notre analyse des influenceurs en France en passant d’un Top 100 à un Top 500, comme dans les deux autres pays, et avons répertorié de nouvelles catégories Tech comme l’informatique quantique ou encore la SpaceTech.

Alors, qu’avons-nous appris au cours de cette cinquième année de réflexion et de recherche sur l’influence ?

Principaux résultats de la Tech 500 Power List 2021

Notre premier constat est que la GreenTech occupe désormais une place plus importante dans la liste européenne Tech 500, la GreenTech s’est hissée au quatrième rang des catégories les plus représentées, sur les 17 secteurs technologiques analysés.

Les questions environnementales demeurent un sujet majeur, au cœur de l’agenda politique, social et médiatique. De plus, la COP26 a vu les dirigeants mondiaux prendre des engagements et tenir des promesses historiques pour réduire les émissions de carbone et limiter le réchauffement climatique. Les nouvelles technologies joueront un rôle déterminant dans la concrétisation de ces engagements, ce qui explique la progression du nombre d’influenceurs GreenTech dans les classements des trois pays, cette année. Au Royaume-Uni, leur nombre a augmenté de 160 %, et en Allemagne de 47 %. Quant à la France, les influenceurs GreenTech sont passés de seulement 2 % du total à 6,4 %.

Notre deuxième constat porte sur la Covid-19 : la pandémie mondiale a rebattu les cartes de l’influence, et son impact est encore perceptible dans le rapport de cette année. Le développement et le déploiement réussis des vaccins (ainsi que l’émergence des nouveaux variants du virus) ont permis aux épidémiologistes, aux spécialistes de l’immunologie et aux autres experts de la santé de jouer un rôle essentiel dans la compréhension du Coronavirus.

En conséquence, les spécialistes de la BioTech et de la HealthTech ont vu leur influence croître de manière exponentielle. Des personnalités telles que Kate Bingham (ancienne responsable de la « UK Vaccine Taskforce »), Chris Whitty (médecin-chef de l’Angleterre) et Özlem Türeci (cofondatrice de BioNTech, ayant mis au point le premier vaccin approuvé contre la Covid-19) sont devenues quelques-unes des figures les plus influentes de l’année passée. En outre, les influenceurs BioTech dans le classement Tech 500 ont augmenté de 69 % et ceux de la HealthTech de 35 %. En 2021, un influenceur sur 10, dans le Top 500 à travers les trois pays, appartient à l’un de ces deux secteurs.

De la même manière, et en raison de la pandémie, l’influence des hommes politiques, des conseillers gouvernementaux et des universitaires a augmenté. Les citoyens ont sollicité les opinions de ces experts afin de comprendre le virus, ainsi que l’impact qu’aurait la levée des restrictions liées à la Covid-19 sur le nombre de cas. Ainsi, le nombre d’influenceurs de notre classement issus du secteur universitaire a progressé de 74,4 % et ceux du secteur gouvernemental de 57,1 %. En réalité, la plupart des premières places du classement européen sont occupées par des influenceurs gouvernementaux ou universitaires : 30 % des 100 premiers et 52 % des 25 premiers appartiennent à l’un de ces deux groupes.

Enfin, notre dernier constat est plus préoccupant : notre classement fait émerger une faible représentation des femmes influentes dans le secteur Tech européen. Seulement un influenceur sur cinq (22%) dans le top 500 européen est de sexe féminin. La France est le pays le moins diversifié avec le plus faible pourcentage de femmes dans le classement (11,1 % de l’ensemble des influenceurs français). L’Allemagne arrive devant avec une représentation de 19,2 % et le Royaume-Uni en tête avec la plus forte proportion de femmes (24,2 %) dans le Top 500 global.

Ce constat témoigne malheureusement du déséquilibre entre les sexes déjà existant dans le secteur. Cette disparité entre les sexes est largement rapportée, et Tyto cherche à y remédier par le biais de la Fondation Tyto et du travail avec la Charte des Talents Tech, en espérant observer une plus grande représentation féminine dans le rapport de l’année prochaine.

Pour en savoir plus sur les tendances du paysage des influenceurs Tech en Europe, téléchargez le rapport complet. Vous y trouverez également le classement global des 100 personnes les plus influentes en Europe ainsi que les top 100 des principaux influenceurs Tech de chaque pays.

Zoë Clark, Senior Partner et Responsable Médias et Influence chez Tyto

Tyto Tech 500 Power List 2020

« Les influenceurs en 2020: qui sont-ils vraiment? »

On utilise souvent le terme « influenceur » dans le domaine du marketing et des relations publiques. Ces personnes sont en général importantes aux yeux du public. Ces « influenceurs » nous font part de leurs opinions sur des sujets et des événements d’actualité et peuvent même impacter nos choix au quotidien, dans une certaine mesure. Par exemple, ils peuvent influencer notre comportement d’achat, le parti politique que nous soutenons ou encore les communautés que nous aimerions rejoindre.

À l’heure  le monde fourmille d’influenceurs de toutes sortes, on peut se poser la question : comment peut-on encore déterminer qui est vraiment un influenceur en 2020 ? Le terme lui-même a complètement changé de sens au fil des ans et continue d’évoluer – jusqu’à la rédaction de ce billet de blog.

Dans le passé, les influenceurs étaient soit des célébrités du cinéma et de la télévision, soit des journalistes et des chroniqueurs fortement présents dans les médias. Les réseaux sociaux ont tout changé. Un nouveau genre de porte-parole est apparuqui peut directement communiquer avec les masses. Soudain, les gens « normaux » ont commencé a disposer d’une plate-forme conséquente à partir de laquelle ils ont pu atteindre un grand nombre de personnes, construire leur propre marque et gagner en influence. Les hommes politiques (que ce soit au niveau national ou local), les scientifiques, mais aussi beaucoup d’autres ont soudain eu une voix qui s’est fait entendre.

En développant la Tyto Tech 500 Power List, nous voulions savoir qui sont ces personnes influentes dans le paysage actuel de la tech. Nous nous sommes donc penchés sur les hommes politiques, les journalistes, les scientifiques, mais aussi les chefs d’entreprise et les leaders d’opinion dans ce secteur.

Notre Tyto Tech 500 Power List est le classement annuel du secteur tech français, britannique et allemand. Pour figurer dans la liste, une personne doit avoir une influence sociale significative, en ligne et hors ligne. Il s’agit du premier classement français fondé sur des données qui ne dépend pas de mesures individuelles ou d’opinions subjectives, mais qui examine, entre autres, le degré d’activité de ces personnes sur les réseaux sociaux, la fréquence de leurs interventions dans les conférences et la couverture médiatique de ces derniers.

La Tyto Tech 500 Power List 2020 et de plus amples informations sur la méthodologie sont disponibles au lien suivant.   

Long Live Public Relations

Reclaiming Public Relations
Today we launch Tyto, a European PR agency with a focus on technology, science and innovation. Here we share our thoughts on why we’re PR and proud.
Brendon Craigie, former Hotwire Founder and CEO, and Ellen Raphael, former Director UK of Sense About Science, founders of Tyto.

Public Relations is dead! Long live Public Relations! Ever since we started in the industry the debate over the future of PR has existed but in the last ten years it has intensified. In recent years, many PR agencies have succumbed to pressure to drop ‘PR’ or ‘Communications’ from their names in an effort to show their versatility, while at the same time advertising and digital agencies are rushing to show that they can do PR too. The agency world, in the words of Alan VanderMolen is at risk of creating “a generation of generalists”, who don’t showcase their core strengths.

It’s in this climate that we are launching Tyto. Proud to be PR.
Tyto is a brand-new European PR agency, founded by former Hotwire founder and CEO Brendon Craigie, and former director of Sense About Science, Ellen Raphael. We are a multi-disciplinary, multi-national team that operates as one unit, across geographical borders.
We are a team of nine experienced, senior communications practitioners, who are tired of PR being minimised. We think it’s time to reclaim public relations, and take pride in our expertise, our experience and our value to our clients – and everything that implies.

The work of building a company’s relationships with its audiences, has never been more important. And PR’s role in this has never been more vital.
So why does the PR industry insist on selling itself short or selling itself out?

The communications world has never been more confusing or more crowded. Social media influencers and politically motivated ‘news’ outlets jostle for attention, while traditional editorial voices battle for impact, and brands with a story to tell are faced with a bewildering array of channels and audiences.

At the same time, wider societal trends have seen an erosion of trust in the traditional expert. We have seen politicians on both sides of the Atlantic accused of corruption, highly regarded public figures brought down by accusations of professional and sexual misconduct, and, at a time when a free critically engaged media is needed more than ever, standards of journalism have been ripped apart.

We see vloggers who can garner the attention of thousands simply by sharing their everyday lives, mums’ forums cited as a political force, Facebook becoming the platform where people trade news, both real and fake, and information transcends geographical and platform boundaries .
A reputation can be destroyed at the click of the share button.

Against this backdrop companies are crying out for experts to help them mediate this new terrain and to meaningfully connect with their stakeholders.

At Tyto we believe the time is now for PR to set aside its angst, step-up to the challenge and reassert its purpose.

At Tyto, we are ‘PR and Proud’, which shouldn’t feel like a bold statement and yet strangely it is. Ever since we started conversations with people about setting up a new agency, the bit that generated the most discussion was about the name ‘PR’, forget all the other bits we wanted to do, what people fixated on was whether we wanted to be defined ‘solely as a media relations’ type enterprise. And here’s the rub. No we don’t. But we don’t see, and never have, that PR is just about media relations.

For us public relations is about working with a client to ensure that its greatest asset when it comes to having relationships with its stakeholders – its reputation – is safeguarded, developed, honest and worth something, for when it matters most.

What does this mean? We believe in a full fat version of PR, which involves working across anything and everything required to build and manage reputation. We believe that in this complex world, PR agencies need the ability to deliver across geographical borders and across multiple communications channels.

Are we cheating then by saying we are a public relations agency? We don’t think so. Because we believe there is something integral and special in the words ‘public relations’ in the conveyance of relationships, in the recognising of a company’s public profile. We don’t want to just be a communications agency. Or solely digital. We want to be more, much more and for us public relations covers it. We call this PRWithoutBorders™

PR Without Borders

L’ancien fondateur et PDG de Hotwire, Brendon Craigie, lance l’agence européenne Tyto

Située à la confluence de la technologie, de la science et de l’innovation, Tyto souhaite aider les entreprises à relever les défis qu’elles rencontrent, grâce au pouvoir de la communication.

Paris, 4 octobre 2017 – Tyto, une nouvelle agence de relations publiques située à la confluence de la technologie, de la science et de l’innovation, démarre ses activités aujourd’hui. L’agence vise à aider les entreprises à relever les défis qu’elles rencontrent, grâce au pouvoir de la communication. Elle est fondée sur un nouveau modèle appelé PRWithoutBorders™. Le modèle PRWithoutBorders de Tyto offre aux clients plus de créativité, plus d’efficacité et de meilleurs résultats, par-delà les frontières.

Tyto fait ses premiers pas avec une équipe de neuf personnes réparties entre le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et l’Espagne. Tyto a été cofondée par Brendon Craigie, ex-PDG mondial et fondateur de Hotwire, et Ellen Raphael, ancienne directrice de l’association d’enseignement scientifique Sense About Science. L’équipe comprend six anciens employés de l’agence Hotwire et un ancien directeur adjoint de Freuds. Tyto est une société privée, financée par des fonds privés. Tous les employés posséderont des parts de l’entreprise.

Le nouveau modèle d’exploitation d’agence de Tyto, PRWithoutBorders, comprend une équipe pluridisciplinaire et multinationale qui fonctionne d’une seule voix par-delà les frontières, avec un accent mis sur
• La résolution des défis commerciaux ;
• Un modèle de tarification qui repose sur les résultats et non sur le temps passé ;
• Un contenu et des unités d’informations dédiés ;
• Un processus de sprint créatif inspiré des dernières tendances de la Silicon Valley ;
• Des technologiques avancés ainsi que des outils de recherche propriétaires ;
• Et, un éclairage sur les médias les plus influents.

Brendon Craigie, cofondateur et directeur associé, déclare : « Le modèle d’agence internationale traditionnelle est inefficace. Figé d’un point de vue créatif, il est l’antithèse de ce pour quoi il a été créé. La nouvelle génération d’entreprises mondiales, plus petites et plus agiles, nécessite un nouveau type de partenaire pour les aider à relever leurs défis commerciaux. Notre modèle repose sur nos échanges avec plus d’une centaine de PDG, directeurs marketing et responsables communication. Il supprime tout ce qui est inefficace dans l’ancien modèle et met l’accent sur ce qui améliore la qualité et génère des résultats plus créatifs. »

Brendon Craigie poursuivit : « Les progrès technologiques permettent aujourd’hui de construire une équipe internationale qui travaille véritablement à l’unisson, plutôt que de manière compartimentée. Ce changement de paradigme dans le processus créatif rompt avec la pensée étriquée issue d’un hub d’agences internationales qui appliquent localement une stratégie élaborée par une agence centrale. Ainsi, nous pouvons réaliser des tâches de manière plus rapide et efficace, car notre hiérarchie et notre structure d’agence sont beaucoup moins complexes. »

Gladys Diandoki, consultante senior ajoute : « Le modèle globalisé qui veut que tous les contenus viennent d’un hub centralisé est mort. Il fallait inventer un modèle qui prenne en compte les spécificités locales, culturelles et évidemment la réalité des médias locaux. Il était temps de créer un nouveau modèle, en phase avec les attentes des clients. »

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À propos de Tyto
Tyto est une nouvelle agence de relations publiques européenne située à la confluence de la technologie, de la science et de l’innovation. La mission de Tyto est d’aider les entreprises à relever leurs défis commerciaux grâce au pouvoir de la communication. Les équipes de Tyto au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et en Espagne collaborent d’une seule voix. Nous avons développé un système d’exploitation exclusif appelé PRWithoutBorders™, conçu pour offrir aux clients plus de créativité, plus d’efficacité et de meilleurs résultats.

Why the future of PR is borderless

When British Prime Minister Theresa May said “If you believe you are a citizen of the world, you’re a citizen of nowhere” the explicit message was that you are either with us or against us. You are British or homeless. What does this mean for international PR and communications agencies that have risen to support globalisation?

The rejection of the ideal of world citizenship has come at a time when politicians are trying to reconnect with large sections of the population who have unquestionably seen their standard of living drop since the global financial crisis and have lost faith in world leaders to create a better society. This rejection saw Brexit, the rise of Front National in France, and the election of Donald Trump. But as simple and populist as it is to say we can retreat into our national psyches, it lacks intellectual and business support, it jars with intrinsic human curiosity, and it goes against how we experience the world today.

Far from being the beginning of the end for the idea of the international PR agency, I believe it will be the springboard for a new type of international PR agency. Before going into what this new type PR agency could look like, let’s remind ourselves how international business and culture are today.

We now live in an era of global television production, distribution and viewing. Season 7 of Game of Thrones was simultaneously broadcast in 173 countries around the world. As media commentator Amanda Lotz, Fellow at the Peabody Media Center and Professor of Media Studies, University of Michigan notes: “It’s now possible for a series to release new episodes for viewers around the world, and the result is a global watercooler — a shared media culture that transcends national boundaries.” Today some of the biggest cultural influences on us as consumers are global.

We are travelling the world more than ever. Take my home nation of the UK for example. According to the UK’s Office for National Statistics, there were 70.8 million visits overseas by UK residents in 2016, which was 8% more than in 2015. This compares to 58 million visits abroad by residents in 2001. Consumers are seeing more of the world, experiencing more of the world and as the expression goes, travel broadens the mind. This doesn’t mean that we all think as global citizens, or we will all start eating the same cuisine, but it does mean we have a broader perspective and cultural appreciation.

This also means trends travel more quickly between countries and regions. Anyone with children will be familiar with the fidget spinner trend. The fidget spinner phenomenon has spawned over 11.5m videos on YouTube and 26.7m searches on Google. If you’re not familiar with them, the idea behind the fidget spinner is simple: a metal or plastic design rotates around a bearing in the middle to achieve a satisfying spin that can go on for minutes on end. According to NPD, a data company that tracks the toy market, the spinner took just three weeks to cross the Atlantic and go global. For toy manufacturers, this is a major issue because they normally plan their supply chain 18 months in advance. As the Economist notes “Developing and manufacturing a toy can take even longer than inventory planning—up to three years. But now there is pressure to spot new fads and bring products to market far more quickly.” The speed at which a new product can launch and become an international phenomenon is incredible and we need to be sure that as communicators we are agile and connected enough to stay ahead of the curve.

We live in a global news era. Just think about the stories that have dominated our headlines over the past year. From Secretary Clinton’s emails, the war in Syria, the Migrant Crisis, Brexit, Presidential elections in the US, France and the Netherlands, terrorism events, North Korean’s nuclear missile test, Hurricane Irma or Uber’s ethical travails. They might not have happened in our backyard, but they have dominated our headlines around the world, and they have informed discussions around the world too. Whether this is because news travels more freely, events have bigger consequences, or we are just more interested in global events, it doesn’t really matter. The fact is we live and operate in a more globally current world, and as communicators, it is beholden on us to think both locally and globally.

We live in an era when businesses can and are increasingly international in their growth strategies and operating models. Notwithstanding current controversies, consider the fact that Uber was founded in March 2009 and in less than a decade it now operates in 633 cities worldwide and generated $8.7bn in bookings in the last quarter. Or look at Automattic, the company behind the WordPress platform which powers 27% of all the websites in the world. Automattic was founded in August 2005 but now has a distributed workforce of 605 employees spread over 58 countries speaking 80 different languages. Stephen Kelly, CEO, Sage, noted in an interview with PWC “What is very different now from 30 years ago is businesses can go global much quicker. The global digital village allows companies to go global, scale up and do what wasn’t possible 30 years ago.” Today businesses can and do have desires to conquer the world or at least large sections of it and we, as communicators, need to be there to support them. We need to be able to do this in an agile and efficient way that doesn’t load up fledgling businesses with multinational fee structures.

As you can see the world is not retreating into its national psyches and the speed at which we are coming together culturally and commercially shows no sign of slowing down. So what does this mean for the international agency model?

The first thing I would say about the international PR agency model as we know it, is that it is scarcely international. Most global PR agencies have an HQ or centre of gravity which leads a collection of satellite offices. It’s common in large PR agencies for those working in satellite offices to talk of initiatives coming from London or New York, or wherever the power lies. These PR agencies look international on a map but they operate as a collection of different entities under one brand, usually with separate P&Ls and local management.

The way these PR agencies are set up then flows into how they operate. International client campaigns are usually run and coordinated out of one of the places which holds the power. Ideas for client campaigns are developed in these hubs and shared with other countries for localisation. Step inside one of these international hubs and you won’t find much by way of national diversity, let alone international diversity. How can we possibly expect agencies to try and tackle global challenges or take advantage of opportunities from such a narrow viewpoint?

The way these PR agencies are set up and run is in direct contrast with the way that modern global businesses are being built. Consider again Automattic, the business behind WordPress. Their employees work together from the location of their choice (office or home) and collaborate on how to make WordPress even better for the world. They deliver products to a global audience, developed from a global mindset, uninhibited by country silos.

This type of multinational borderless enterprise, powered by the latest technology, is what the future looks like. The communications industry must move with the times if it wants to keep up. The way we think about client and communication challenges needs to be based on a much more collaborative and integrated international model that brings a diversity of perspectives to bear as a matter of course. It shouldn’t require a super human effort; it should just be. The integrated international perspective will improve the quality of our ideas, and it will also mean that we are much more agile and efficient at executing client campaigns.

None of this should detract from the need for local knowledge and relationships; it’s just that in today’s world where so much of what we think and do has a global dimension, we need to combine our local and worldwide capabilities into one much tighter unit. This closer international team will be much better placed to think and act locally and globally, taking the rich differences in perspectives to develop even more compelling and innovative ideas and approaches to client challenges.

What might this tighter unit look like?

  • It will have less hierarchy and fewer layers. If you are building a deliberately international business do you really need specific country management? I’d argue not. Traditionally PR agencies have built a team of teams where the client gets a team for each country they are engaging with, led by a lead team who coordinates these teams. In the future, PR agencies will build one team for the client made up of the different disciplines and nationalities they require. This team will work as one unit.
  • Services specialisms will be horizontal across the entire business. If you have a content capability or an insights capability, then that should work as one horizontal unit across your target countries, not as a series of local in-country silos.
  • Client programmes will have clear central management. Too often client campaigns have duplicated local and global management which makes them much less efficient and less integrated.
  • They will be smaller and privately owned. Having run a decent sized global business, I know first-hand that when you reach a certain size and operate under a public ownership structure, you lose your manoeuvrability. The new breed of international PR agency will be smaller, more agile, and less inhibited.
  • They will invest disproportionately in technology and be higher skilled. The PR industry is a slow adopter of technology. Traditionally we’d much rather have a low paid employee do research than contract an expensive software solution. In keeping with the idea of smaller international PR agencies, I expect these to have much higher individual productivity based on greater skills and experience, and increased use of technology.

This model of working isn’t going to be right for every type of client. If you can afford to throw the kitchen sink at your client programme and operate the PR agency equivalent of a gas guzzler, then fine. But for today’s modern fast growing international enterprises, of which hundreds are launching every day, a much more agile and nimble model is required. This is what I will be working towards on my next PR venture. We call our new operating model PRWithoutBorders™.